Superbe poussette

Bonjour à tous !

Je sais, l' image n' est pas d' excellente qualité et le bébé n' est pas identifiable pour les non initiés aux détails de la famille Charbonnier, mais je ne pouvais résister à vous proposer cette photo, ne serait-ce que pour la magnifique poussette, dernier cri, pour l' époque ! Alors ? Qui est-ce ?

Pour ceux qui préfèrent affronter les haïkus plutôt que les bébés,  je vous rappelle celui  de Maryline  :

Barras s'inclina

Son prénom lui emprunta

Une rente, elle reçut

A tous, bon dimanche ensoleillé !

Moi, je  projette une grande marche avec Marie-Christine, Jean-Pierre se consacrera aux soins du jardin et ... à ceux de son genou quelque peu douloureux !

Et vous ?

Tendres bisous à vous !

Comments

[Fran篩se Charbonnier]

Elle, c 'était Marie-Anne Reubell, et la nôtre, c 'est Marianne-la-Rebelle !

[maryline]

Marianne....
Bravo! Tu l'as trouvée!C'etait bien Marie-Anne Reubell qu'il faut chercher sous son nom de jeune fille sur internet (Marie-anne Monhat). Tu a été très bien formée et tu es un véritable petit détective! Je m'incline à nouveau mais pas trop bas sinon je vais rester coincée!
Pour ma petite histoire à moi, je la connais depuis peu!En cherchant des symboles de la République (symboles qui s'installent avec la IIIème République), je me suis dit..."Il y en a bien un qui va me demander mais pourquoi Marianne?"Alors j'ai cherché sur un outil très simple qui ne consomme d'énergie que la mienne et qui s'ouvre vite ( mon très vieil ordi demande un peu de temps).Il s'appelle "Quid" et tout y est ou presque!
Mesdames bravo pour le travail d'équipe vous avez retrouvé l'hypothétique marraine de Marianne! Vous êtes prête pour le "da Vinci code " ou "le Deception point" et ....Heureusement pour toi ,Marianne qu'elle ne s'appelait pas Gertrude!Tu crois qu'ils auraient osé?
Bonne journé à toutes
Maryline
PS: un dernier point:Je ne sais pas si Barras était aussi cynique que l'auteur de l'article a bien voulu le dire ...Que dire de La Fayette? Et que dira-t-on de nos hommes politiques dans quelques temps?

[marianne]

 Pas  de doute ça ne peut être qu\\\'elle ! Marie-Anne Reubell !!
Barras s\\\'enquit de son prénom. " Parfait, dit-il, il est simple, il est bref et sied à la République, autant qu\\\'il sied à vous-même. " Dans sa correspondance secrète avec les généraux hostiles à son ennemi Carnot, il désigna toujours son groupe sous le nom conventionnel de Marie-Anne. En 1811, Napoléon accorda à Marie-Anne Reubell une pension à vie de 6000 livres.

[marianne]

 Pas  de doute ça ne peut être qu'elle ! Marie-Anne Reubell !!
Barras s'enquit de son prénom. " Parfait, dit-il, il est simple, il est bref et sied à la République, autant qu'il sied à vous-même. " Dans sa correspondance secrète avec les généraux hostiles à son ennemi Carnot, il désigna toujours son groupe sous le nom conventionnel de Marie-Anne. En 1811, Napoléon accorda à Marie-Anne Reubell une pension à vie de 6000 livres.

[marianne]

Moi j'en dis que je fais aussi des recherches ! voilà  ce que j'ai trouvé sur un site !
1792-1794, la Marianne populaire ne connaîtra que deux brèves années d’existence au grand jour. A la chute de Robespierre, la République bourgeoise la renverra dans la clandestinité avec les derniers Montagnards. Mais ces deux années avaient affirmé la double distorsion qui ne cessera de vivre tout au long de ces deux derniers siècles : distorsion entre l’espérance et la réalité, distorsion entre la représentation féminine valorisante et la réalité de la condition féminine.
Un exemple immédiat et presque caricatural nous le montre. En 1797, après avoir règlé leurs comptes aux robespierristes montagnards et aux royalistes, les diverses factions républicaines bourgeoises se disputent le pouvoir d’une république vidée de sa substance populaire. Par jeu, la faction de Barras se réclame de Marianne. Barras, vous le savez, est un des plus cyniques et des plus corrompus ex-montagnards. Celui qui couvrit les fusillades du Champ de Mars lors de la reprise de Toulon en 1793 est devenu un des hommes-clés de la république bourgeoise. La république dont il rêve, et dont il veut confier les rênes à Bonaparte, qu’il croit un homme de paille, il l’appelle aussi et toujours Marianne, en l’honneur de la belle madame Reubell, l’épouse d’une de ses créatures.